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SANDRINE ELBERG
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    Ma chère Russie

Depuis 2004, Sandrine Elberg a régulièrement voyagé en Russie, sur le territoire de ces ancêtres, les russes blancs.
 
Il y a onze ans, l'artiste a découvert une partie de l'histoire de son nom patronymique. Désormais, elle place son travail photographique de portraitiste dans la perspective d'une identité russe qu'elle ne veut oublier, et qui lui fait assumer autant ses thèmes de travail que leurs expressions plastiques.
 
Pour l'artiste, l'histoire de ce pays est complexe et recèle une multitude de sentiments et de contradictions ; de l'étrangeté et de la révolte - pour l'artiste, cet état est tout aussi enivrant qu'inclassable.
 
Sandrine Elberg place ses rencontres, ses personnages (en majorité des femmes), ses décors, entre illustration et évocation picturale. Immobiles ou prises sur le vif, ces photographies sont une vision d'auteur : l'âme du peuple russe d'aujourd'hui.
Le temps dans ses photographies est immédiatement suspendu, la vie de ces personnages n'est plus que symbolique. Chaque environnement qui au départ est bien réel devient intemporel, théâtral et in fine irréel.
    Ma chère Russie

Depuis 2004, Sandrine Elberg a régulièrement voyagé en Russie, sur le territoire de ces ancêtres, les russes blancs.
 
Il y a onze ans, l'artiste a découvert une partie de l'histoire de son nom patronymique. Désormais, elle place son travail photographique de portraitiste dans la perspective d'une identité russe qu'elle ne veut oublier, et qui lui fait assumer autant ses thèmes de travail que leurs expressions plastiques.
 
Pour l'artiste, l'histoire de ce pays est complexe et recèle une multitude de sentiments et de contradictions ; de l'étrangeté et de la révolte - pour l'artiste, cet état est tout aussi enivrant qu'inclassable.
 
Sandrine Elberg place ses rencontres, ses personnages (en majorité des femmes), ses décors, entre illustration et évocation picturale. Immobiles ou prises sur le vif, ces photographies sont une vision d'auteur : l'âme du peuple russe d'aujourd'hui.
Le temps dans ses photographies est immédiatement suspendu, la vie de ces personnages n'est plus que symbolique. Chaque environnement qui au départ est bien réel devient intemporel, théâtral et in fine irréel.
    Ma chère Russie

Depuis 2004, Sandrine Elberg a régulièrement voyagé en Russie, sur le territoire de ces ancêtres, les russes blancs.
 
Il y a onze ans, l'artiste a découvert une partie de l'histoire de son nom patronymique. Désormais, elle place son travail photographique de portraitiste dans la perspective d'une identité russe qu'elle ne veut oublier, et qui lui fait assumer autant ses thèmes de travail que leurs expressions plastiques.
 
Pour l'artiste, l'histoire de ce pays est complexe et recèle une multitude de sentiments et de contradictions ; de l'étrangeté et de la révolte - pour l'artiste, cet état est tout aussi enivrant qu'inclassable.
 
Sandrine Elberg place ses rencontres, ses personnages (en majorité des femmes), ses décors, entre illustration et évocation picturale. Immobiles ou prises sur le vif, ces photographies sont une vision d'auteur : l'âme du peuple russe d'aujourd'hui.
Le temps dans ses photographies est immédiatement suspendu, la vie de ces personnages n'est plus que symbolique. Chaque environnement qui au départ est bien réel devient intemporel, théâtral et in fine irréel.
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Depuis 2004, Sandrine Elberg a régulièrement voyagé en Russie, sur le territoire de ces ancêtres, les russes blancs.
 
Il y a onze ans, l'artiste a découvert une partie de l'histoire de son nom patronymique. Désormais, elle place son travail photographique de portraitiste dans la perspective d'une identité russe qu'elle ne veut oublier, et qui lui fait assumer autant ses thèmes de travail que leurs expressions plastiques.
 
Pour l'artiste, l'histoire de ce pays est complexe et recèle une multitude de sentiments et de contradictions ; de l'étrangeté et de la révolte - pour l'artiste, cet état est tout aussi enivrant qu'inclassable.
 
Sandrine Elberg place ses rencontres, ses personnages (en majorité des femmes), ses décors, entre illustration et évocation picturale. Immobiles ou prises sur le vif, ces photographies sont une vision d'auteur : l'âme du peuple russe d'aujourd'hui.
Le temps dans ses photographies est immédiatement suspendu, la vie de ces personnages n'est plus que symbolique. Chaque environnement qui au départ est bien réel devient intemporel, théâtral et in fine irréel.
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Depuis 2004, Sandrine Elberg a régulièrement voyagé en Russie, sur le territoire de ces ancêtres, les russes blancs.
 
Il y a onze ans, l'artiste a découvert une partie de l'histoire de son nom patronymique. Désormais, elle place son travail photographique de portraitiste dans la perspective d'une identité russe qu'elle ne veut oublier, et qui lui fait assumer autant ses thèmes de travail que leurs expressions plastiques.
 
Pour l'artiste, l'histoire de ce pays est complexe et recèle une multitude de sentiments et de contradictions ; de l'étrangeté et de la révolte - pour l'artiste, cet état est tout aussi enivrant qu'inclassable.
 
Sandrine Elberg place ses rencontres, ses personnages (en majorité des femmes), ses décors, entre illustration et évocation picturale. Immobiles ou prises sur le vif, ces photographies sont une vision d'auteur : l'âme du peuple russe d'aujourd'hui.
Le temps dans ses photographies est immédiatement suspendu, la vie de ces personnages n'est plus que symbolique. Chaque environnement qui au départ est bien réel devient intemporel, théâtral et in fine irréel.
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Depuis 2004, Sandrine Elberg a régulièrement voyagé en Russie, sur le territoire de ces ancêtres, les russes blancs.
 
Il y a onze ans, l'artiste a découvert une partie de l'histoire de son nom patronymique. Désormais, elle place son travail photographique de portraitiste dans la perspective d'une identité russe qu'elle ne veut oublier, et qui lui fait assumer autant ses thèmes de travail que leurs expressions plastiques.
 
Pour l'artiste, l'histoire de ce pays est complexe et recèle une multitude de sentiments et de contradictions ; de l'étrangeté et de la révolte - pour l'artiste, cet état est tout aussi enivrant qu'inclassable.
 
Sandrine Elberg place ses rencontres, ses personnages (en majorité des femmes), ses décors, entre illustration et évocation picturale. Immobiles ou prises sur le vif, ces photographies sont une vision d'auteur : l'âme du peuple russe d'aujourd'hui.
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Pour l'artiste, l'histoire de ce pays est complexe et recèle une multitude de sentiments et de contradictions ; de l'étrangeté et de la révolte - pour l'artiste, cet état est tout aussi enivrant qu'inclassable.
 
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Il y a onze ans, l'artiste a découvert une partie de l'histoire de son nom patronymique. Désormais, elle place son travail photographique de portraitiste dans la perspective d'une identité russe qu'elle ne veut oublier, et qui lui fait assumer autant ses thèmes de travail que leurs expressions plastiques.
 
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Il y a onze ans, l'artiste a découvert une partie de l'histoire de son nom patronymique. Désormais, elle place son travail photographique de portraitiste dans la perspective d'une identité russe qu'elle ne veut oublier, et qui lui fait assumer autant ses thèmes de travail que leurs expressions plastiques.
 
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Sandrine Elberg place ses rencontres, ses personnages (en majorité des femmes), ses décors, entre illustration et évocation picturale. Immobiles ou prises sur le vif, ces photographies sont une vision d'auteur : l'âme du peuple russe d'aujourd'hui.
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